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"Recherche de plein vent", en confinement

Commentaire du texte de Pascal Nicolas le Strat "La recherche de plein vent"

Acte pour le séminaire Geste(s) Public(s) : la recherche en action, animé par Marion Hohlfeldt et E. Delprat

Université de Rennes 2 - UFR ALL - Classe de Master Art Pla Recherche

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L’auteur est professeur en sciences de l’éducation à l’université de Paris 8 et sociologue au sein du laboratoire Experice à Aubervilliers. Cet article a été mis en ligne le 16 novembre 2014, sur le site internet https://pnls.fr/, qui répertorie tous ses travaux.  Il s’est notamment intéressé aux dynamiques de recherche ouvertes à un public non-expert, ainsi qu’aux contextes micro-politiques, territoriaux qui les permettent. Les différentes étapes de son étude sont accessibles dans plusieurs articles thématiques, écrits de 2012 à 2019, et abordant une série de questionnements sur les orientations méthodologiques de la recherche en sociologie. Le texte qui nous intéresse est l’un de ceux-là.

Pascal Nicolas Le Strat précise : «  Ce texte correspond à l’exposé que j’ai présenté le samedi 8 novembre 2014 au séminaire des Fabriques de sociologie, qui se tenait sur le campus de l’Université Paris 8 à Saint-Denis ».



Le terme métaphorique de  « plein vent », m’a tout de suite évoqué les bourrasques caractéristiques de la côte morbihannaise où j’ai passé mon enfance. J’ai en mémoire cette sensation grisante de risque physique d’envol, que l’on a lorsque l’on se poste face à l’océan, du haut des falaises de la côte sauvage de la Presqu’île de Quiberon. La force des éléments, leur impact légendaire sur l’environnement côtier, façonnant tout autant la roche que les mentalités  depuis des siècles, a marqué mon imaginaire. Le vent est ce qui nous oblige à nous agripper aux éléments du paysage, pour ne pas être dés-enraciné. Depuis la plage de  l’isthme de Penthièvre, à l’entrée de la presqu’île, on aperçoit l’île de Téviec. Cette petite portion de terre, vestige de l’ancien territoire préhistorique aujourd’hui recouvert par la mer, abrite l’une des plus anciennes nécropoles d’Europe(1). Enfant, je m’imaginais, plus tard, en archéologue fouillant ce site interdit au public.

Aujourd’hui, isolée dans ma case individuelle, je me sens, comme à cette époque, dans la frustration de ne pas pouvoir rejoindre l’île, l’objet d’exploration fantasmé, mais dans la perspective de l’atteindre un jour. En individu en quête du sens de ce qui lui échappe, j’ai été saisie d’étonnement face à la pertinence actuelle d’interroger la problématique méthodologique dans la recherche scientifique. Effet de la synchronicité, dans l’article de Pascal Nicolas-Le Strat, le cas de l’hypothétique expansion d’une molécule virale échappée d’un laboratoire sert d’exemple introductif à l’argument en faveur du déplacement du chercheur, du dedans vers le dehors, de l’isolement stérile, vers l’expérimentation incorporée à l’altérité, la multitude grouillante parasitante humaine. Selon l’auteur, puisque ce qui est travaillé dans le laboratoire peut s’échapper, autant aller vérifier les conséquences de ce qui a débordé accidentellement du cadre de l’étude primordiale, à l’extérieur de ce dernier.

Certes, la recherche confinée est plutôt rassurante pour le scientifique : pas besoin de s’adapter à un public ignorant des protocoles, et pas besoin, non plus, de se justifier, en vulgarisant tout-de-même un peu son savoir, pour pouvoir se faire comprendre, au risque de perdre en précision. On évite aussi de devoir affronter une vision alternative sur le sujet de l’expérience, voire contradictoire, qu’il faudrait, parce que fausse, alors démonter, en vertu du devoir d’objectivité, et donc de vérité.Pourtant, j’ai pu vérifier les avantages à expérimenter dans les dehors, en immersion dans une dynamique collective, auprès un public néophyte. Expliquer à d’autres ma technique, et pourquoi je l’applique à ma création, me conduit d’abord de me comprendre moi-même. En effet, j’ai toujours du plaisir à décortiquer des gestes devenus automatiques, et, par exemple, apprendre à mes élèves comment l’on trace à main levée un cercle. Je peux me mettre à la place de ce jeune qui découvre le mystère du tracé, avec les mêmes yeux émerveillés que les miens, jadis, lors de mon propre apprentissage. Entre lui et moi, la communication est  facile puisque nous sommes alors pareils : deux enfants qui s’amusent ensemble, à maîtriser, sur une page blanche, la progression du crayon, tenu dans sa main, tenue dans la mienne. Sa découverte devient la notre, commune, dans la continuité de la transmission du savoir.

S’ouvrir aux alternatives permet ensuite de s’affranchir en partie de ce qui est tenu pour acquis. Dans le milieu culturel qui évolue sans cesse, il est bénéfique pour l’artiste de savoir renouveler régulièrement son protocole, l’adapter aux esthétiques changeantes. Cette aptitude est d’autant plus nécessaire que l’on pratique, dès le départ, un art inclusif, participatif, ou encore collaboratif. Quel artiste n’a pas déjà vécu comme une bouffée d’air bienfaisante, le fait de se mettre au service d’un autre praticien ? Dans cet élan solidaire, on est à la fois celui qui apprend une autre méthode, et aussi celui qui peut mettre son expérience au service d’un tiers, possiblement ignorant face à un problème, lui facilitant ainsi la tâche.  

L’appel de Pascal Nicolas-Le Strat à s’extraire de sa zone de confort fait écho à ma propre démarche. C’est l’envie de savoir comment les gens envisagent mon travail artistique, une fois exposé, qui m’a poussée, en 2010, à quitter mon atelier de construction de décors à la commande, pour proposer des sessions de découverte de la pratique du moulage au grand public. Sur la base de la collecte de volumes en négatif de creux de mains de centaines d’anonymes, j’ai ainsi constitué des moules à effets qui  servent de matrices pour le surfaçage de sculptures.  L’une d’entre elles est installée à Rennes, dans le quartier Beauregard, dans une coulée verte, près d’une école primaire.


En 10 ans, les séances d’ateliers pratiques de ce type se sont multipliées. Les œuvres produites sont toutes exposées et mises à disposition d’un public large qui n’hésite jamais à s’en rapprocher de très près pour en apprécier les reliefs. Je me demande quelles vont être les conséquences de l’actuelle épidémie dans le déroulement de nos travaux artistiques après le confinement, et, surtout tant que nous ne disposons pas de vaccin efficace contre le virus qui en est la cause. Pourrais-je encore, demain, pratiquer la prise d’empreinte directe sur la peau des autres et collecter un matériau potentiellement infesté pour l’appliquer à la surface de ma sculpture, laquelle sera ensuite mise en contact de la peau d’une multitude d’humains curieux, la touchant de la main ?  Ironiquement, le titre de mon workshop comporte une interrogation qui fait d’autant plus sens dans les circonstances actuelles : « Jeu de mains, Je, demain ? ».

L’arrivé de ce virus plonge la communauté des chercheurs dans un contexte de crise qui provoque des réactions profondément hostiles, de la part de ceux que notre expert nomme, citant Bruno Latour,  les « protagonistes récalcitrants ». Je me souviens de mon tout premier cours donné en tant que vacataire de l’enseignement en arts plastiques dans le secondaire : un élève de troisième avait lancé un débat en affirmant qu’il ne ferait rien dans mon cours « parce que son père lui avait dit que les artistes étaient tous des feignants qui ne s’intéressent qu’au fric. » Je lui avais demandé ce qu’il voulait faire plus tard. Il avait répondu : « banquier ». Débuter par un comique de situation provoquant l’hilarité de toute une classe d’adolescents en mal de perspectives s’avéra être une bonne option. J’ai gardé ce réflexe de la clownerie pour me sortir de n’importe quel piège du dehors.

Mais ce type défense par la dérision ne peut agir que si la communication avec le contradicteur est directe. On peut constater, notamment dans nos communications en ligne, sur les réseaux sociaux qui fleurissent sur internet que les expressions contradictoires peuvent émaner de profils d’individus avec lesquels il n’est pas possible d’entamer une véritable discussion, et dont le seul but est de « pourrir », autrement dit, dans le jargon populaire, « troller » le message posté sur la plateforme.De plus, l’espace virtuel étant particulièrement ouvert et difficilement poliçable, le danger encouru par  le chercheur internaute peut être la perte ou le plagiat de ses données. Aujourd’hui, cette question est particulièrement problématique pour les scientifiques, qui, faute de garantie de sécurité, hésitent encore difficilement à investir  largement ce nouvel espace numérique. En dehors des pages en total opensource, leurs écrits sont sur-protégés, par des droits d’auteurs(2), le copyrignt régissant leur distribution légale, et par la limitation de leur diffusion volontaire, sur des plateformes en ligne, elles mêmes soumises à un copyright(3). Pourtant ce terrain hors laboratoire, partagé par le plus grand nombre, offre une audience inespérée pour le chercheur de plein vent.

Les artistes plasticiens, auteurs d’œuvres graphiques, musicales, ou audiovisuelles, œuvrant le plus souvent en exercice indépendant, ont différemment pensé leur investissement de l’outil internet. Il leur permet de communiquer sous une forme synthétique et promotionnelle, qui favorise le déploiement de leur renommée, autant que leur quête d’informations. C’est parce qu’il sont isolés, donc plus vulnérables dans le contexte du marché de l’art, lequel est bien moins cadré que celui de l’édition, par exemple, qu’ils prennent plus de risques.En cas de confinement prolongé, les internautes réguliers pourraient très bien être favorisés, par rapport aux professionnels ayant privilégié, pour leur « recherche de plein vent », les contacts directs aux populations. Ainsi, ces dernières semaines, les illustrateurs, nombreux dans mon cercle amical, ont su saisir l’opportunité du confinement général, pour se faire connaître. Ils ont créé des jeux graphiques, qu’ils ont ensuite mis gratuitement à la disposition des familles connectées, via les plateformes en ligne dédiées à leurs travaux, ainsi que des réseaux sociaux, où ils ont massivement circulé. Cet effort particulier, mu par l’esprit de partage autant que l’intelligence opportuniste -laquelle est une valeur reconnue dans le monde de l’art actuel-, est soutenu par l’habitude déjà prise par ces artistes de communiquer sur l’avancée de leurs projets via ces supports.

Le développement des nouvelles technologies peut être perçu comme une chance pour les spécialités scientifiques de trouver au-delà des limites de la forteresse universitaire, un public d’amateurs éclairés. Pascal Nicolas le Strat cite notamment la proposition d’Isabelle Stengers de parler de « collectif de recherche élargi », une équipe constituée d’experts entourés d’un amatorat distribué, c’est-à dire, des « connaisseurs » suffisamment nombreux et d’origines diverses, lesquels seraient susceptibles de venir renforcer la légitimité du chercheur mis en situation de « grand vent », auprès d’un public encore plus large. On retrouve ce type de corps constitué d’amateurs éclairés et bienveillants au sein des associations qui portent, particulièrement en région, les actions culturelles destinées à populariser les travaux de recherche dans le domaine de la création artistique contemporaine.

Les artistes indépendants, de leur côté, se constituent en sous-groupes solidaires, par un mécanisme de promotion réciproque, qui s’applique lors de rassemblements évènementiels (festivals de street-art par exemple), ou des actions collaboratives, de la co-création, ou de l’occupation artistique d’espaces mutualisés (ateliers, squats, espace public). On peut envisager que ces collectifs restreints s’étendent à un réseau de proches qui soutiennent les artistes dans leurs initiatives et communiquent sur leurs évènements, par tous les moyens de possibles. La situation de confinement bloquant tous les rassemblements, si elle s’étendait sur un temps long, serait donc une période charnière pendant laquelle le secteur de la recherche se devrait de trouver des solutions pour continuer à entretenir les bonnes relations avec cet entourage-là, constituant le premier cercle autour de l’expert. L’utilisation d’internet à ces fins, nécessite de s’habituer aux outils de communication massive, ainsi qu’aux règles implicites de la navigation en ligne en terme de présentation.

Les jeunes chercheurs ont déjà intégré cette nécessité de présenter de manière synthétique, les sujets d’étude, lors d’exercices de présentations orales. Ils appliquent les leçons tirées de leurs soutenances, pour la fabrication de vidéos diffusées sur youtube. Parmi les plus connus, on peut citer par exemple, le cas de Manon Bril (Champier), docteure en histoire contemporaine, conférencière et animatrice de la chaîne C’est une autre histoire(4) depuis 2015, suivie par 353 000 abonnés, ou encore Rodolphe Meyer, docteur en sciences et technologies de l’information et la communication, créateur de la chaîne Le réveilleur(5), qui traite de l’environnement et est suivie par  82 600 abonnés. Certains youtubeurs, moins formels dans la présentation, frôlent parfois des extrêmes, comme Léo Grasset, un scientifique trentenaire, professeur de biologie et écrivain, dont la chaîne Dirtybiologie(6) a atteint les 980 000 abonnés dès le début du confinement, et les dernières vidéos ont largement dépassé le million de vues.

Face à ces statistiques convaincantes, on pourrait très bien imaginer que pour les futurs doctorants, la diffusion de la progression de leurs recherches, sous une forme audiovisuelle, sur des plateformes internet dédiées, spécifiques ou bien généralistes, devienne une norme à suivre, pour les faire vivre en dehors du contexte de laboratoire. Les informations diffusées par des groupes organisés en petits collectifs sur internet peuvent en effet être relayées sur des millions, voir des milliards de posts. Ces échanges mondialisés génèrent une quantité énorme de données dont le scientifique doit tenir compte s’il veut être rigoureux et vérifier la cohérence des trouvailles au regard de l’actualité.

La confrontation aux mouvements sociaux, au militantisme qui porte l’expression des questions morales contemporaines dans le dehors, s’imposent donc au chercheur de plein vent. Depuis quelques temps, les communications dématérialisées ont prouvé leur efficacité dans l’alternative à la manifestation publique de rue. La diffusion du hashtag #metoo, permettant la création et le partage d’une chaîne de témoignages de femmes ayant subit des agressions sexuelles, a eu des retombées médiatiques considérables. Apportant au combat féministe un nouveau souffle, notamment auprès des nouvelles générations très connectées, l’initiative à provoqué une prise de conscience massive de la problématique de la discrimination de genre, depuis la rue jusqu’aux bancs de l’université. Et il y a fort à parier que cela aura des conséquences sur les choix de thématiques pour les travaux des unités de recherche à venir, dans tous les domaines.

Reste à savoir comment le vent va t’il tourner sur l’internet. Son usage quotidien rend la notion de distance abstraite. Ultra-connecté, on peut se sentir plus éloigné de son voisin, établi dans l’appartement d’à côté, que d’un internaute qui vit à l’autre bout du monde. L’effet du confinement prolongé, assorti d’un risque accru de contamination une fois que l’on en sera sorti, pourrait modifier profondément notre rapport à l’autre dans le futur. Des internautes envisagent, pour la société de demain, des scénarios un peu effrayants, dignes des grands ouvrages de la science-fiction. Ce mouvement de l’imaginaire collectif n’est pas nouveau mais il semble s’être accentué ces dernières mois.

Parmi les productions audiovisuelles circulant le plus sur la plateforme Youtube, le clip Gosh(7), posté il y a déjà près de 4 ans, du musicien remixeur britannique Jamie Smith a.k.a. XX, fait apparaître un héro albinos qui nous regarde fixement, debout depuis la fenêtre d’une façade d’immeuble, dans un monde virtuel qui ressemble beaucoup au notre. Il est seul et a l’air déprimé, au milieu d’une multitude d’êtres, tous isolés les uns des autres, et en même temps, tous identiques, et unis dans un même mouvement chorégraphié. L’œuvre fait écho à ce que l’actualité nous fait découvrir de l’angoissant paysage urbain, pourtant familier, mais vidé de l’humanité désormais confinée.

Moi même, privée un temps inhabituel de l’usage de mon atelier et de l’activité de sculpture, j’ai trouvé, dans mon isolement, un peu de réconfort dans la nostalgie de mes premiers émois graphiques dans le genre fantastique. Portée par une pulsion cathartique, je me suis replongée dans les illustrations du mangaka japonais Tsutomu Nihei, dont l’œuvre d’anticipation la plus connue, Blame!(8), a été publiée de 1998 à 2003. Cette dystopie à l’esthétique cyberpunk, met en scène des personnages étranges, non humains, perdus dans l’environnement désolé d’une ville-machine, échappée au contrôle des hommes.  Tel un archéologue solitaire, le héro, Killee(9) traque la présence de fossiles utiles parmi des enchevêtrements de câbles, dans une matière géologique cybernétique. L’ensemble du manga Blame!, empreint d’un climat  donc particulièrement glauque, semble illustrer ce que serait la recherche de plein vent sans nous : une quête impossible et désespérée. Admirant l’efficacité d’un trait de génie rendant cet univers-là tout-à-fait plausible, je me dis que c’est là un cauchemar à éviter. Et justement, la dernière mise en garde de Pascal Nicolas Le start, concerne le risque pour le chercheur « d’être affecté, personnellement et professionnellement » par une modification de sa démarche, allant du confinement, vers un exercice de plein vent.


Et cela vaut également pour une situation inverse, telle la claustration généralisée actuelle, qui nous force à penser la recherche sans autre possibilité de contact avec les autres, que par l’intermédiaire d’un réseau de machines connectées virtuellement. La philosophe Joëlle Zask, l’évoque dans son ouvrage Quand la forêt brûle[...](10) : il nous appartient donc désormais de penser à mieux nous prémunir des bouleversements incessants que nous promet un futur fait de catastrophes environnementales et d’instabilités dans nos rapports humains.



 

1. Bruno Boulestin, Les sépultures mésolithiques de Téviec et Hoedic, Révisions bioarchéologiques, Oxford, Archaeopress, 2016.
2. SACD (société des Auteurs et compositeurs dramatiques),  « Droit d’auteur et copyright, les différences », 2018. https://www.sacd.fr/   
3. European Union trade mark legal texts. https://euipo.europa.eu/ohimportal/en/eu-trade-mark-legal-texts  
4. Manon Bril (Champier), C’est une autre histoire, chaine audiovisuelle en ligne, depuis le 27 juin 2015
Youtube, https://www.youtube.com/channel/UCKjDY4joMPcoRMmd-G1yz1Q  
5. Rodolphe Meyer, Le réveilleur, chaine audiovisuelle en ligne, 31 mars 2015
Youtube, https://www.youtube.com/channel/UC1EacOJoqsKaYxaDomTCTEQ  
6. Léo Grasset, Dirtybiologie, chaine audiovisuelle en ligne,  Youtube, depuis le 17 févr. 2014
https://www.youtube.com/channel/UCtqICqGbPSbTN09K1_7VZ3Q
7. Jamie Smith a.k.a. XX, Gosh, clip audiovisuel, Album In color, Youtube, 4 oct. 2016. https://youtu.be/hTGJfRPLe08
8. Tsutomu Nihei, Blame !, traduit par Vincent Zouzoulkovsky, Seinen manga, Grenoble, Glénat, 1998 à 2003.  

9. ibid.
10. Joëlle Zask. Quand la forêt brûle, penser la nouvelle catastrophe écologique, Paris, Premier Parallèle, 2019.


Références de l’acte de recherche commenté :  https://pnls.fr/une-recherche-de-plein-vent/



 

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Pour citer cet article :

Valérie Galerne a.k.a Mari Gwalarn, "La recherche de plein vent, en confinement.", La pièce rouge [...], site de recherche de l'auteur, [en ligne], CR et commentaire de l'article de Pascal Nicolas de Strat, "La recherche de plein vent", acte pour le séminaire "Gestes) Public(s) : la recherche en Action", animé par Marion Hohlfeldt et Etienne Delprat, Université de Rennes 2, 11 mai 2020, mis en ligne le 1er juin 2020.

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